Artistes

Maracatu Sète Sabia

Groupe de percussions né en mars 2018 sous l’impulsion de la MJC de Sète, son répertoire emprunte aux rythmes du maracatu, style typique de la région du Nordeste au Brésil. La batucada est constituée d’une trentaine de musiciens, amateurs et professionnels, qui se retrouvent autour de chansons festives, en déambulation comme sur scène.

Itak

Chanson pop rock, teintée d’électro, avec des textes en français et en espagnol. Un duo porté par Soizic Martin à la voix et aux claviers, et Jean-Laurent Cayzac à la guitare électrique et batteries samplées, qui propose une pop douce et rugueuse à la fois comme du sable chaud, un voyage poétique et solaire aux mélodies enveloppantes.

Sete Ventos

Trio composé de Cedric Pierini à l’accordéon, de Souad Bensa au chant et au triangle, et Benjamim Rushi à la zabumba, c’est le bal forrò dans la forme. Et dans le fond : une musique festive, populaire et entrainante, à la joie communicative. Côté répertoire, Sete Ventos emprunte aux chansons traditionnelles du forrò brésilien, et propose aussi des compositions originales où le français trouve également sa place.

Les Triplettes

Les Triplettes, c’est la rencontre de trois voix, de trois énergies, sur une seule et même scène, pour revisiter cinquante ans de chanson française de manière pimentée et poétique. En habit de bal, elles sont accompagnées par trois musiciens de talent pour faire danser les femmes et les hommes, effaçant toute distinction d’âge.

Takamaka

Coralie Arguel compose, écrit et chante sur ses musiques tressées de charme, de finesse et de fougue, évadées des sonorités envoutantes de son ukulélé… Cette artiste à la plume aiguisée est accompagnée par Abel Dumont à la contrebasse, qui donne à ses chansons une touche jazz.

Salomé Thérond

Auteure, vidéaste et photographe, fascinée par la mise en scène depuis son plus jeune âge, Salomé Thérond reconstruit le monde qui l’entoure à travers ses écrits et ses créations visuelles. Sa dernière série, Rappelle-moi, exposée à l’Atelier Révolution au printemps 2024, est le résultat de l’immersion qu’elle a menée trois années durant dans la jeunesse, ses espoirs et ses illusions. 

Saravá

Designer graphique de formation, Saravá crée des risographies originales sur Sète, sa ville natale, et le Brésil, où elle aura vécu dix ans, dans un petit village de pêcheurs. Pour occuper sa fille, elle se met à fabriquer des carnets de coloriage où apparaissent déjà ces visages avec des coiffes de carnaval, et ces typographies inspirées des graffitis brésiliens du mouvement Pixação, qui deviendront sa marque de fabrique. Le mot saravá, utilisé au Brésil comme salutation à la vie, vient du candomblé, mélange de diverses influences spirituelles pratiquées par les esclaves en Amérique latine pour lutter contre la domination des blancs.

Manuel Blanc

Ancien journaliste, Manuel Blanc collabore entre 2004 et 2014 à la compagnie Komplex Kapharnaüm, pour laquelle il crée et interprète des interventions urbaines en tournée à l’international. Depuis 2015, il réalise des détournements in situ, des visuels en lien avec l’actualité et des interventions plastiques qu’il restitue dans l’espace public. La série Safe life is sold out, qu’il a consacrée aux Gafam, a fait l’objet d’expositions dans des vitrines désaffectées de Sète. Schengen area is an open space, sur la crise de l’accueil des migrants, est paru aux éditions des Cent Regards.